AVIS DES HISTORIENS
"Comment ne pas souscrire à l'Historock ?
Les historiens ont depuis deux décennies au moins intégré le cinéma dans leur enseignement. Impossible de négliger aujourd'hui la musique pop, le rock.
L'idée d'Historock est de s'adresser à des jeunes jusque-là rétifs à la culture classique pour leur faire apprendre et aimer l'Histoire. Qu'importe les moyens (et ils sont ici forts séduisants), c'est le résultat seul qui compte.
Grâce à Historock on peut espérer voir arriver en premier cycle dans les universités des étudiants disposant d'une base qui leur fait actuellement défaut.
Donc inutile de faire la fine bouche et en avant la Musique !"
Jean Tulard Membre de l'Institut Professeur à la Sorbonne
"Votre disque est un modèle du genre, qu'importe le flacon, pourvu que vous fassiez aimer l'histoire.
Je suis de tout cœur avec vous."
Alain Decaux Ancien Ministre Membre de l'Académie Française.
"Le Projet Historock m'a frappé par son originalité et ses ambitions pédagogiques. Il est en fait un outil parascolaire très attrayant pour les jeunes et les enseignants."
Marc Germanangue Chercheur à l'IRIS Université Paris-Nord
"Les régions méditerranéennes successivement marquantes (Egypte, Grèce, Empire romain) sont bien mises en valeur. Autour de quelques faits historiques essentiels, les idées sont justement et clairement dégagées, en insistant selon les cas sur leur dimension politique, chronologique, religieuse ou mythique. La qualité et la clarté de l'information font du tome I, "l'Antiquité", un outil agréable pour l'éducation des jeunes générations."
Nicole Belayche Professeur d'Antiquité à la Sorbonne
"Donner le goût de l'Histoire à de jeunes gens qui n'ont souvent qu'un rapport épisodique avec les textes écrits, est une œuvre de salut publique."
Patrick Henriet Maître de Conférences à la Sorbonne
"Cette entreprise mérite d'être soutenue par son originalité, la qualité des textes et de la musique; elle devrait permettre d'attirer et d'intéresser à l'Histoire nombre de jeunes. Une Historienne ne peut qu'y souscrire."
Dominique Prévot Professeur d'Histoire Grecque Paris IV-Sorbonne